Il existe un monde magique et paisible appelé Rêveria.
J'observais jadis cet endroit depuis les nuages. Je contemple maintenant ce ciel d'en bas.

La lune brumeuse y flotte, elle s'appelle Lunares.
Lunares éclaire les paysages de Rêveria de sa lumière argentée.

L'aube approche...
Est-ce que mon héro est ici ? Je ressens une présence. Une personne plongée dans un rêve conflictuel.

Va-t-elle piocher, forger, ou couper du bois ?
Va-t-elle cuisiner, coudre ou scier ?
Ou bien peut-être va-t-elle...
Pêcher, chasser, brandir une épée ?
Invoquer, concocter ou se battre vaillamment ?
Ils n'ont qu'à décider vers quelle carrière se tourner...

Le jour va bientôt se lever sur Rêveria.

C'est là que notre histoire commence.

« Eau »

Un simple geste, une simple émotion et la vague déferla. Une puissance implacable se tenait ici. Bleu. L’on ne voyait que cette couleur. Cet intense bleu dans lequel un simple mortel se perdrait à jamais. Un regard. Un seul regard pour mourir. La femme ne fit qu’un pas et les hommes se mirent à genou, terrassé par l’aura impériale de sa personne.

« Air »

Le tourbillon s’abattit. Une rafale de vent soufflait dans son visage, faisant voler ses cheveux. Mais elle s’en fichait. Son regard était tout aussi empli de détermination. Sa prestance était celle d’un digne monarque. On ressentait la véracité de ses dires. Elle était juste. Elle ne mentait pas. On lui faisait simplement confiance. Elle était libre.

« Terre »

Elle s’adaptait à son environnement. Rien ne l’empêchait de continuer d’avancer. Elle n’en faisait qu’à sa tête mais tout le monde la suivait. Elle posa sa main contre le tronc du platane et leva rapidement les yeux au ciel, en quête de la lumière du soleil. Ses partisans ne semblaient plus s’étonner lorsqu’ils voyaient les nouvelles poussent sous ses pieds.

« Feu »

Mais en un claquement de doigt, elle aurait pu tout détruire. En elle, brulait le feu de la détermination. Elle fit jaillir un brasier ardent sous les yeux ébahi de tous. Signe de sa supériorité. Elle voulait un monde meilleur. Un monde où tous pourrait vivre. Un monde sans guerres ni atrocités. Du Chaos naissait la Lumière.

« Esprit »

Un monde où tous serait libre d’exercer son libre-arbitre. D’exécuter ses propres choix.


 Le monde Elémentaire.

« Eau Air Terre Feu et Esprit »

C’est ainsi que l’être humain naquit. De l’Eau vient le sang. De l’Air vient la personnalité. De la Terre vient le corps. Du Feu vient la puissance. De l’Esprit vient le libre arbitre.

Rapidement, le monde Elémentaire fut séparé en cinq grandes Nations, adoptant chacune leur propre mode vie, suivant leurs envies et leurs Destins. Chaque Nations avait des êtres particuliers possédant chacune des capacités hors du commun. Des Dons de la Clé. C’est ainsi que se faisait appelé la jeune femme que les textes nommait. Elle était l’Eau et le Feu à la fois. La douceur de la Terre et la fraicheur de l’Air. Les livres la décrivent comme une déesse ayant offert à tous ses dons. Rapidement, les Faës découvrirent une résistance à la chaleur hors du commun. Certains se rendirent même compte que suivant leurs humeurs la température augmentait. Les Aërs se sont vit offrir de magnifique paires d’ailes. Les enfants, les futures générations naquirent tous différemment. Jusqu’à aboutir à de fines ailes semi-transparentes. Les fils de la Terre, ainsi se faisaient appeler les membres de la Nation manipulaient aisément les faunes et les flores de leurs terres. Les Aquëris, quant à eux acquéraient des capacités aquatiques hors du commun. De fines branchies firent apparition sur le corps de leurs hommes et chez certains, leurs jambes n’étaient plus que queue.

Et enfin, les Esprits eurent pour Don de s’adapter aux autres. En fonction de leur résidence, certains découvraient des capacités similaires à ceux des autres Nations. Ils savaient s’adapter à chaque situation.

Mais rien ne s’est déroulé comme il le fallait et la Grande Guerre n’en débuta que trop tôt. Les tensions entre les pays de l’Eau et celui du Feu s’empiraient de jour en jour. Les alliances formées avec les autre pays firent de ce conflit un conflit de grande envergure qui semblait ne jamais s’arrêter.  Les jeunes hommes étaient envoyés au front dès qu’ils étaient jugé aptes de s’y rendre et les femmes, les vieillards et les enfants aidaient dans les villages.
Mais un jour, la Clé des Dimensions se rendit compte de son erreur. Elle n’aurait pas dû créer l’homme. Cependant, anéantir l’espèce ainsi lui brisait le cœur. Elle s’était déjà éprise d’eux. Elle fit alors l’entreprise de séparer les camps en créant les Dimensions. L’Eau, l’Air, la Terre et le Feu ont chacun vécu la grande Séparation et n’eurent alors plus aucune raison de se faire la guerre, ne pouvant plus se voir, se toucher, se parler. Les Esprits eurent, quant à eux le grand choc de voir leurs enfants mourir et leurs maisons disparaitre. Chacun furent dispersé dans les quatre dimensions. Et la Clé redevint une légende. Un mythe oublié des anciens temps.

Avant de disparaître, elle se retourna un instant et prit sa source de pouvoir. Son âme. Elle serra le long prisme contre son cœur et fit le vœu de voir ses enfants faire la paix et vivre pleinement leur vie. Pas dans la colère ou dans la douleur, mais dans l’espoir et la liberté. Le prisme donna naissance à cinq joyaux. Un Saphir, un Diamant, une Emeraude, un Rubis et une Améthyste. Les cinq gemmes furent équitablement répartit dans les quatre Dimensions.
Sa dernière supplique fut adressée à ses créations qu’elle aimait tant.

« Rassemblez les fragment de mon âme, mes enfants. »

Depuis la nuit des temps, les hommes continuèrent de se battre pour retrouver les éclats de ce prisme. Mais lorsqu’un d’en eux fut découvert, les hommes et leur avidité se rendirent compte d’une chose. Les Clés possédaient un pouvoir incroyable. Et ils allaient les utiliser à leurs avantages. Et mystérieusement, des hommes naquirent avec un potentiel magique. Ils eurent alors les facultés uniques de faire voyager d’autres à travers les dimensions. Cependant, ils furent rapidement limités qu’à quelques allers-retours.

La Clé espérait de tout son être que l’histoire se finirait bien. Mais elle s’en était remise aux hommes. Et Dieu sait quel choix feront-ils. Quelle valeur, de la paix à la guerre triomphera ?

Et c’est ainsi que la Guerre des Dimensions perdura.

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Le Divin et le Prince des Enfers se sont livrés une guerre. Les anges et les démons sont apparus sur terre, chamboulant le monde entier dans une guerre qui n'a fait aucune pitié. Les créatures vivantes sur terre se sont montrés, pour arrêter le cataclysme qui anéantissait leur monde et celui des humains. Après cette guerre, les Anges ont rebattit une partie de la terre, ne créant qu'une seule terre que les humains nommèrent Exponentia, ou la zone treize pour nombre d'entre-eux. Terrassés, d'un esprit vengeur, certains humains créèrent un clan de chasseurs, une organisation fermée et douteuse qui chasse encore les créatures des terres, en condamnant certaines dans la zone interdite. Et vous, qu'êtes-vous ? Êtes-vous prêts ?

C'est l'histoire d'une petite communauté nommée CAS, alias Le royaume des cookies sauvages. Dans ce royaume dédié à l'amour du graphisme et du codage, énormément de service sont proposés : partenariat, concours, animations, loteries, battles, jeux divers, libre-services, commandes graphiques avec énormément de choix, cours sur Gimp, Photofiltre et Photoshop, galeries graphiques et écritures, partages de brushs/textures/patterns, tutoriels sur Gimp, Photofiltre et Photoshop, partie dédiée aux avis des créas, paroles aux membres, invités et membres du staff... Et bien sûr, une activité hors du commun ! Cré'Actif Space n'attend que toi

Vous venez d'être transféré à "Echoes Of Silence". L'asile psychiatrique le plus réputé de toute la Corée du Nord. Vous découvrirez bien vite que cet hôpital psychiatrique est différent de ceux que vous avez pu connaître jusqu'à présent. Nos méthodes thérapeutiques sont d’une particularité unique, n’en doutez pas. Nous avons investi une fortune pour que cet établissement ressemble a un luxueux manoir aristocratique. Cependant, je crains que vous ne parviendrez jamais à en sortir un jour... Les faits sont réels, vous voilà à présent maudit par ce lieu hanté. Ah ! Vous ne comprenez peut-être pas où je veux en venir ? Voyez-vous, une rumeur court qu'un détenu qu'on nommerait "Le Prince" soit la réincarnation du mal. Un apôtre du Diable, dont la cruauté et la froideur peuvent vous pétrifier sur place. Il aurait pactisé avec le Diable, en échange d'une vie et d'une jeunesse éternelle. Et ainsi, il a offert son âme pour recevoir en lui les 7 péchés capitaux...

Mais, rassurez-vous, vous n'êtes pas à l'abri de ses malveillances ! Il s’avère que vous avez en vous l'un de ces 7 péchés. Maintenant que vous avez franchi le seuil de cette porte, vous êtes condamné à manier un pouvoir représentant le péché qui se développe le mieux en vous. Alors, êtes-vous plutôt : l'Avarice, la Luxure, L'Orgueil, la Gourmandise, l'Envie, la Paresse, ou encore la Colère ?

Obéirez-vous à ce Prince du mal pour une vie de torture éternelle dans le péché et la folie ?

Tu t'es réveillé au milieu d'une pièce noire et sombre. Tes souvenirs étaient flous, tu te rappelais simplement t'être assis avec tes amis, au self. Il y avait des raviolis à la cantine : c'était rare.
Tu t'es levé précipitamment, paniqué ; mais ta tête était douloureuse et tous tes membres engourdis : tu es tombé sur le carrelage froid. Devant toi, il y avait une porte. Tu t'es avancé et, de ta main, tu a essayé de la pousser. Elle s'est ouverte.
Quand tu es sorti, tu as découvert un étrange complexe de petites maisons au béton sale. Elles avaient l'air disposées en plusieurs rangées, séparées par de petites rues – alors désertes. Instinctivement, tu as su que tu n'étais pas seul. En effet, au fil des heures, d'autres adolescents sont sortis des maisonnettes : vous n'étiez pas beaucoup, une demi-douzaine. Tous aviez les même souvenirs : s'asseoir, à la cantine, et entamer vos raviolis...

Les jours passaient, et de nouvelles personnes sont arrivées. Comme toi, elles se sont réveillées après avoir mangé leurs raviolis, à l'école. Fille ou garçons, ils avaient entre dix et vingt ans et venaient de toute l'Europe. Vous étiez seuls.



Rapidement, vous vous êtes aventurez dans les bois. Vous aviez trouvé différentes armes dans votre maisonnette : arme à feu, arme blanche. Vous avez pour la plupart chassé pour la première fois, ou cueilli de quoi vous nourrir. Dans les bois, vous avez découvert plusieurs lacs dont l'eau s'est révélée potable car traitée par des machines mystérieuses.
Un mois était passés quand un bruit de locomotive vous a réveillé. Avec d'autres jeunes, vous vous êtes précipités vers le vieux chemin de fer derrière les habitations : mais le train était déjà parti, laissant derrière lui de gros cartons de provisions en tout genre, tant alimentaire que sanitaire. Vous avez aussi découvert quelques livres et jeux de sociétés.



Le train, passant à chaque fin de mois, dépose la marchandise grâce à des bras mécaniques, et il n'y a vraisemblablement aucun conducteur.
Vous étiez coupé de tout rapport avec le monde extérieur. Certain ont essayé de s'enfuir ; ils ont découvert que, tout autour de la forêt et du village, il y avait plusieurs couches de grillages et murs en béton montant sur quelques dizaines de mètres. Ceux ont tentés de s'enfuir ont soudainement disparus pendant la nuit.
Pas d'électricité ; pas de réseau.



Il y avait quelques centaines de maisons individuelles, disposés en rangées parallèles. Chaque maison contenait un lit en fer, une table de nuit, une table ainsi qu'une chaise, une lampe à huile, quelques étagères et une armoire. On trouvait aussi un barbecue portable. Une seconde petite pièce, coupée de la première par un rideau, renfermait des toilettes sèches ainsi qu'un gros récipient posé sur une table, doté d'un bouchon permettant de libérer un liquide quelconque. Dans les placards se trouvaient assiettes, verres, bouteilles, couverts et saladiers, ainsi que quelques serviettes. Étrangement, l'armoire rassemblait quelques uns des vêtements et effets personnels que tu avais laissé chez toi. C'était comme si l'un de tes proches avaient préparé tes affaires...
Dans le village, il n'y avait aucun commerce. Vous aviez trouvé une maison plus grande, avec ce qui semblait être un bar désaffecté. Il restait quelques rares bouteilles d'alcool et un peu de nourriture. Quelques maisons semblaient un peu plus grandes que les autres, contenant par exemple une à deux pièces en plus. Peut-être serait-il astucieux d'en faire quelque chose de spécial... ?

Voilà trois mois que les premiers adolescents sont arrivés. Comptant les quelques morts – chasses, maladies, et les disparus suite aux tentatives de fugue, ils sont une dizaine.
La vie au village va devoir s'organiser, comme ceux de leurs parents ; il faudra des médecins, des commerçants, des forces de l'ordre... tout ça né de leur vision d'enfant. A moins qu'ils n'aient la volonté de créer une société nouvelle ?
Et s'ils cherchaient plutôt à rentrer chez eux, et à chercher comment ils ont atterris ici ?
Pourquoi leurs affaires ont ils été préparés ? Leurs proches étaient-ils donc au courant ?
Qui les a enlevé ?
Pourquoi des raviolis ?
Comment va tante Hugette ?
Tant de questions qui se posent... et c'est à toi d'y répondre – ou non.
Il va de toute façon un minimum d'organisation pour survivre : d'étranges prédateurs rodent, plus gros et plus puissants que les animaux que tu connaissais. Toi, qui viens d'arriver ; l'avenir repose sur tes jeunes épaules.

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