Notre cher Tony est né en Sicile en 1867 dans une famille rurale propriétaire d'une ferme de citron importante sous le nom de la Grande Famille Florio. Benjamin d'une famille de 8 enfants, et dans le centre d'une période de grande demande à travers l’Europe pour l'agrume acidulé, il a commencé très jeune a bâtir le magnifique temple qu'étais son corps au moment de son décès. Des épaules larges, un dos solide et des bras forts sont des outils de travail sur une ferme victorienne.

À treize ans, le jeune Tony faisait déjà 1m60 et faisait 70 kilos de muscle. Malgré le succès économique de la ferme et vu les changements politiques de 1880, la famille de Tony a décidé de tout abandonner et de fuir comme des réfugiés vers Londres où la carrure exceptionnelle du jeune italien lui a ouvert la porte vers le pugilisme qui était en popularité grandissante dans le monde sombre et clandestin de l'Angleterre. Nonobstant le côté illégal du sport, le combat a mains nues était une activité sur laquelle les paris pleuvaient et vu le talent presque naturel de Tony pour la chose, l'argent entrait toute seule dans ses poches. Il était fort et rapide et était réputé pour mettre l'adversaire K.O. dans le trois premiers rounds.

Dans sa vingtaine, Tony était le champion invaincu de la boxe à main nues clandestine londonienne. Un titan de presque deux mètres, une montagne de muscles de plus de 100 kilos, il était au top de sa forme et la simple mention de son nom faisait parfois déclarer forfait a ses adversaires. Il était connu et réputé, fier de sa réputation et même les gendarmes, en débit de l'illégalité des combats, évitaient de le croiser de peur de se prendre un coup de poing de la grosseur d'un jambon. Sa gloire le rendait prétentieux et arrogant mais arrivait toujours a maintenir sa suprématie dans le ring.

Mais comme toujours, quand il y a clandestinité, il y avait crime organisé. Et le crime organisé chercher toujours des hommes de main et c'est donc avec un bon sentiment qu'ils ont approché Tony, qui a refusé froidement leur offre en disant qu'il ne voulait rien avoir à faire avec de tels rats. Généralement, le crime organisé ne recule pas aussi facilement et ils ont essayé plusieurs autres fois qui furent reçues avec la même réponse, plus agressive après chacune des demandes mais lorsqu'un indice envers le fait que les mafieux connaissaient où la famille de Tony résidait, la réponse fut une râclée qui laissa les trois hommes à peine vivants.

Nous sommes maintenant en Avril 1897, quelques jours avant la finale du championnat de Pugilat Anglais. Tony était sensé affronter l'Irlandais Mickey McFinigan dans le ring le 25 du mois et beaucoup d'argent avait été mis sur les participant. Mickey était invaincu en Irlande et en Écosse et Tony était incontesté en Terre Anglaise. Les prédictions étaient mitigées mais pour une raison quelconque, les paris finaux étaient Deux contre Un sur Mickey et donc, prévoyant un combat final en remportant le titre de champion, Tony avait parié toute la fortune qu'il avait accumulé à travers les années sur lui-même. Mais la veille du combat, il fut entouré dans une ruelle par des agents du Baron du crime local qui en avait après sa vie.

Ils étaient une dizaine et ils étaient tous armés. Tony en étala quatre en quelques coups mais fut atteint d'un coup de couteau a la cuisse. Il étampa la tête de l'attaquant dans le mur le plus proche et se jeta sur les cinq restant sous l'adrénaline. Un coup de poing et un sixième au sol, un coup de genoux en pleine poire et un autre mort la poussière. Il agrippa le huitième par les épaules et lui explosa la mâchoire d'un coup de boule bien placé. Un uppercut et le neuvième est K.O. Il n'e restait qu'un qui sortait un pistolet. Tony se projeta vers lui dans le but de lui asséner un coup de pied à la tête et...

Le coup qu'il s'était pris en début du combat avait sectionné son artère fémorale, l'une des plus grosse et principale du corps et il n'avait pas sentit la douleur ou l'épuisement sous l'adrénaline du moment. Il s'était vidé de son sang à travers les mouvement et les déplacement du combat et son cœur s’est arrêté exactement au moment ou son mollet bien musclé et dur comme le roc faisait impact avec le visage du dernier attaquant, lui explosant ses lunettes, incrustant du verre dans ses yeux et lui fracassant la mâchoire et la joue.

Le récipient du coup de pied fut un lampadaire. Tony n'était plus a Londres. Il ne comprenait pas où il était. Tout était différent. Son pantalon était coupé à la cuisse et il avait une belle grosse cicatrice. Il était seul sur un trottoir d'une architecture différente et le candélabre qui s'était pris le coup était plié et tordu sous l'impact mais Tony ne ressentait aucune douleur. Des gens autour de lui le regardaient. Mais... où était-il?