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Sujet: Cuir, Cuir, Cuir, Moustache [PV: Nicolas Dahila] Dim 20 Déc - 11:45
Une journée banale comme les autres où Sonny se baladait dans le Purgatoire sans vraiment chercher à aller quelque part précisément. Depuis qu'il avait fait du mal à son p'tit con, il n'avait pas eu de nouvelle. Dommage, son amusement avait disparu, parce que, oui, le blondinet l'amusait beaucoup. Mais maintenant, il est vrai qu'il s'ennuyait. Mais d'un côté, il ne voulait pas vraiment revoir son ancienne victime, il allait sûrement se venger et pas de façon très douce.
Quand il regarda autour de lui, après sa grande réflexion, il était perdu. Où pouvait-il bien être ? Sous le purgatoire, probablement les sous-terrains. Le blond soupira, cherchant une porte secrète pour ''remonter'' à la surface. Il n'aimait pas du tout les endroits clos comme cela, si quelqu'un de plus fort que lui venait ici et avait une soudaine envie de le tabasser, il ne pourrait rien faire.
Il ouvra plusieurs passages secrets qui l'emmenaient dans des endroits inconnus et il ne voulait pas vraiment y rentrer. Il cherchait juste la porte qui l'emmènerait vers son quartier, le sud. Il avait fait tous les passages, du moins, il avait cru, mais il tournait en rond, tout simplement. Eh oui, malheureusement, il n'y avait pas de carte pour les sous-terrains.
-Putain, je suis perdu...
Il finit par s'arrêter devant une porte, espérant que ce soit celle qu'il voulait. Il l'ouvra et voyant que c'était la salle de torture, la referma. Ça faisait dix fois, dix fois qu'il passait devant. Comme si le destin lui disait quelque chose, comme si cette salle, il devait absolument y aller. Mais lui ne voulait pas, il voulait rentrer. Il n'avait pas envie de s'amuser à torturer quelqu'un. À quoi bon faire ça maintenant ? Ou alors... C'était pour le prévenir que cela allait être lui qui allait être torturé ?... N'importe quoi ! Qui pourrait réussir à le torturer ? Son rival, oui, mais pourquoi le ferait-il ? Le p'tit con ? Il n'a même pas de force !
Il soupira intérieurement et réfléchissait. Si on pouvait entrer dans la salle de torture par un passage secret, alors il y avait une porte à l'intérieur de cette salle qui permettait de sortir de ce lieu ! Sans attendre plus, il ouvra une nouvelle fois la porte, commença à y entrer, avant d'entendre un bruit derrière lui. Pensant à un rat, il ne se retourna pas et n'y prêta pas attention.
Dernière édition par Sonny S. Jefferson le Lun 21 Déc - 2:41, édité 1 fois
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Sujet: Re: Cuir, Cuir, Cuir, Moustache [PV: Nicolas Dahila] Dim 20 Déc - 13:48
Il marchait, encore, toujours, depuis combien déjà ? Qui s'en préoccupait ? Voilà, personne. Et qui pourrait le retrouver ici ? Aucune âme ne venait ici, c'était un endroit où l'on pouvait facilement se perdre, se faire attaquer, cela en faisant un lieu très peu fréquenté. Est-ce que ça l'angoissait ? Parce qu'il avait toutes les raisons du monde pour paniquer ici. On n'y voyait goutte, on pouvait l'entendre... mais si ces choses étaient valables pour lui, ça l'était également pour les autres. Il se sentait disparaître, il approcha sa main de son visage. Il arrivait à la discerner, certes, mais ces yeux avaient été habitué à l'obscurité à vrai dire. Il avait l'impression de pas avoir manger depuis des jours, et c'était peut-être le cas, son ventre grognait. Peut-être qu'il s'en serait préoccupé avant, mais, depuis quelques temps, non, plus précisément depuis ce traumatisme, haha, ça lui semblait un peu égal. Le contact humain le répugnait toujours autant, il craignait toujours la dangerosité des autres, mais, il sentait que cette peur revêtissait peu à peu une autre forme.
A son entrée dans les souterrains, il sursauté à chaque couinement, chaque goutte s'écrasant sur le sol, ses propres pas l'effrayaient. Il s'empoigna les cheveux et secoua la tête. Pourquoi n'était-il pas comme d'habitude ? C'était... il n'était pas dans le vrai monde. Tout était éloigné, où, dans quel putain de dimension était-il ? Il avait l'impression de n'être ni sur Terre, ni au Purgatoire, mais dans un autre univers. Peut-être qu'il était ici depuis... trop longtemps ? Bam, bam, bam, encore un bruit de pas, raisonnant. Ca faisait pas mal de temps qu'il les entendait, et ça faisait également pas mal de temps qu'il n'arrivait pas à savoir si c'était le son de ses propres pas ou ceux d'un autre ? Cette question le taraudait. Vraiment. Devrait-il essayer de suivre la source du bruit ? Mais si c'était lui cette source, il ne ferait que poursuivre un but inatteignable ? Et alors ? Tourner en rond, c'est ce qu'il faisait depuis des lustres !
Il se mit donc à suivre ses pas. Doucement, pour ne pas que celui qu'il traquait se doute de quoi que ce soit. Il accéléra tout de même, pour ne pas qu'il lui échappe entre les mains. Ah, maintenant il en avait le cœur net ! Ce n'était pas ses propres pas ! Il n'était pas fou ! Il distinguait une silhouette, masculine. Il se trouvait à vingts mètre d'elle, et ce qu'il vit lui glaça littéralement le sang. Sonny. Il s'arrêta nette, et sentit que ses dents commentèrent à claquer, ses genoux à trembler. Il mis sa main devant sa bouche. Il ne devait faire aucun bruit, non aucun, aucun. Il se laissa glisser au sol. Ce type. S'il le voyait, qui c'est ce qu'il ferait. A chaque fois il avait manquer de l'éliminer, et à chaque fois... oh la première fois il n'avait fait que le frapper, la seconde fois... que se passerait-il la troisième ? Non, non, non, non, non. Il ferma les yeux pour se concentrer. S'il commença, encore, à perdre ses moyens, il ne pourrait jamais s'en débarrasser. Quoi ? Ses yeux s'humidifiaient. Pas le moment de chialer. Pas maintenant. Il se leva, et pris d'une violente colère décida que c'était ici qu'il allait se venger. Il s'approcha, d'un pas rapide, mais pas bruyant pour autant. Il était devant une porte. Il se posta juste derrière lui, à moins d'un mètre de distance, empoigna sa tête et la cogna la plus fort possible contre les "murs" de pierre.
Son violeur tomba comme une masse, inconscient. Nicolas était un peu paniquer, son cœur battait plus fort que d'habitude, mais, heureux tout de même. Cependant, il n'était pas sans ignorer que le laisser ici était du suicide, il allait se relever et lui faire la peau. Il regarda vers quoi donnait la pièce. Un énorme sourire se dessina sur son visage. Une salle de torture. Pour lui - non, pour eux tout seul. En son centre était disposée une table pourvu de quatre lanières servant à attacher bras et jambe. Et devinez, qui allait voir ses bras et ses jambes là dessus ? Oh, il n'allait pas faire ça par plaisir, il allait faire ça pour sa survit à lui ! Il souleva comme il pu le corps inerte du blond et le disposa sur la table. Devrait-il lui enlever ses vêtements ? Cette idée lui était passer par la tête, il avait pensé que ce serait plus facile, malgré tout, il n'en avait pas la moindre envie. Il l'avait déjà vu nu une fois, ça avait été plus que suffisant. Il n'allait pas déprimer maintenant hein ? Il avait tout pour être heureux là maintenant tout de suite ? Alors ? Par quoi allait-il commencer ? Il devrait attendre qu'il se réveille. Et ensuite ?
Et ensuite... il observa les alentours, couteaux, sels, eaux, sacs en toiles... Il releva les manches de son ancien bourreau, alla chercha un sac en toile et lui mis sur la tête. Il pouvait très certainement voir où il était et qui lui parler, pas sûr qu'il saurait distinguer les visages, mais s'il s'approchait suffisamment de lui, il le verrait. Devait-il se montrer ? Ouuui. Il n'avait rien. à. craindre. Puisque de toutes façons il pourrirait ici pour... un temps indéfini disons ! Quand il prendrait conscience de la petite ordure qu'il est. Faire souffrir les gens, c'était de loin, le meilleur gage de bonté, de compassion. Il lui apprendrait la compassion aussi hein, parce que lui quand il avait mal est-ce qu'il en avait putain de quelque chose à foutre ? Est-ce qu'il s'est arrêté quand il l'entendait chialer hein ?! Pas d'inquiétude, puisque lui, Nicolas, était là pour lui offrir tout l'altruisme dont il disposait.
Sonny S. Jefferson Sunny Delight
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Sujet: Re: Cuir, Cuir, Cuir, Moustache [PV: Nicolas Dahila] Dim 20 Déc - 15:18
Il allait se retourner après avoir entendu des bruits de pas quand il sentit une main sur sa tête, puis, plus rien. Le vide, le néant. Il n'avait pas eu le temps de comprendre ce qu'il se passait.
Il ouvrit les yeux quelques minutes après. Il sentit un gros mal de tête et sentit un liquide sur son fond. Il voulut toucher pour voir ce que c'était, même s'il se doutait que ce fût du sang, mais il ne pue lever le bras. Il ouvrit les yeux plus grands et remarque qu'il était sur la table de torture, attaché fermement.
Pour la première fois de sa vie, il se sentit paniquer intérieurement. Il secoua vivement les poignets, essayant de se libérer, en vain. Il essaya la même chose avec des chevilles, le résultat fut le même. Il essaya de calmer son cœur qui venait de s'emballer pour rien. Il regarda devant lui et remarqua une silhouette. C'était un homme déjà… Mais qui lui voudrait du mal ? Oh… Il n'avait même pas besoin de réfléchir. Le p'tit con. Même s'il ne le voyait que de dos, la seule personne à avoir l'idée de faire, c'était ce p'tit con.
-Hey ! Connard ! Détache-moi et arrête de faire le con !
Même si dans sa voix, il était totalement confiant et autoritaire, au fond de lui, il était paniqué de savoir que c'était le blond qui l'avait attaché. Il allait surement se venger et une salle de torture n'est pas là pour faire du bien. Il déglutissait, essayant de calmer son cœur qui avait recommencé à battre comme un fou. Sonny pouvait s'attendre à tout avec ce p'tit con, à tout.
Il jeta un regard autour de lui et il ne pue s'empêcher de sentir une peur l'envahir petit à petit. Mais son regard, lui, restait sévère pour cacher ses émotions.
On y voyait pas très bien, aussi, il avait décidé qu'il allumerait quelques bougies. Quel dommage ça aurait été de ne pas pouvoir contempler la futur petite déchéance du pauvre, pauvre, homme qui ne savait pas contrôler ses pulsions. Il avait mis un peu d'ordres dans ses idées, et avait essayé d'établir un inventaire de qui se trouvait ici, mais surtout, comme il allait s'en servir. C'était bien beau d'avoir toutes ces jolies choses, mais s'ils ne savaient pas quoi en faire... Il était resté silencieux, impatient de voir l'autre se réveiller mais à la fois un peu craintif. Il n'avait réellement pas digérer ce qui s'était passé entre eux la dernière fois. Il y avait pensé, encore, toujours, se demandant si c'était sa faute, pourquoi personne n'était venu le sauver, si ce que l'autre avait dit ces vrais. Il en était venu à plusieurs conclusions. Seulement, ils ne savaient pas encore si elles étaient valables ou non.
La première était la suivante : C'est vrai, comme il l'avait toujours pensé, c'était un petit déchet que personne n'aimait et Sonny avait accepter de lui accorder un peu d'attention. La seconde : C'était un petit salopard égoïste qu'il fallait dresser. Dans les deux cas, il allait lui rendre la pareille, dans tout les cas ce que lui faisait était juste et moral. Enfin ! l'autre homme avait commencé à remuer, prenant peu à peu conscience qu'il était pieds et poings liés, sur une table, sans défense. Et surtout, oui, surtout, sans personne pour venir les déranger. Alors, c'était comme ça qu'il avait lui aussi vu les choses lorsqu'ils étaient dans les bains ? Heureux de savoir qu'il n'y avait personne pour troubler sa séance de plaisir et la séance de torture de l'autre ? Au final, ils étaient si différents ? Qui sait...
"-Hey ! Connard ! Détache-moi et arrête de faire le con !"
"-J'ai un prénom tu sais. Nicolas. Rigola-t-il doucement. Tu sais, N comme "nul". Et toi c'est Sonny, comme... comme quoi hein ?" Demande-t-il en faisant criser un couteau contre le mur. "S" comme Sa-lo-pard."
Il s'approcha de Sonny, et arriva à la hauteur de sa tête se pencha :
"-"Détache moi, détache moi" tu dis... c'est bizarre hein ça me rappelle un peu quand je gueulais que tu me lâches sauf que le fils de pute que tu es m'as juste demander de me calmer." il fit glisser sa tête jusqu'à la poitrine du blond de sorte à entendre ses battements cœurs. Et, il battait la chamade, il s'affolait. Il devina aisément que malgré sa voix assuré, il était mort de peur.
"-Qu'est-ce que tu as a dire pour ta défense ? Demanda-t-il en se redressant. Si ta réponse me convient, ce qui adviendra de toi, te conviendra aussi."
Sonny S. Jefferson Sunny Delight
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Sujet: Re: Cuir, Cuir, Cuir, Moustache [PV: Nicolas Dahila] Mar 22 Déc - 2:49
Il déglutissait un peu, en voyant que sa conclusion était vraie. Alors, il s'appelait Nicolas… Il l'écoutait sans dire un mot, le regardant simplement. Bizarrement, il avait l'impression d'avoir un autre homme devant lui. Il se rendit compte, un peu trop tard, que ‘'son p'tit con'', comme il l'appelait, était dangereux. Quand il entendit le couteau sur le mur, il ne pue retenir un frémissement. Ce n'était pas bon, vraiment pas bon.
Il agita de nouveau les poignets, essayant en vain de se détacher. ‘'S'' comme Sa-lo-pard, on ne lui avait jamais fait celle-là. Enfin ce n'était pas le moment de pensée à ça ! Il fallait trouver un moyen de se détacher, peu importe comment, mais il devait trouver un moyen et vite !
Il l'écoutait, il se rendit compte qu'il était vraiment très dangereux. Il ne pue répondre quoi que ce soit, parce qu'il avait raison sur ce point… Quand il fit glisser sa tête sur sa poitrine, il essayait de se calmer pour qu'il n'entende pas ses battements de cœurs, mais c'était impossible. Qui pourrait calmer ses battements de cœurs dans ce genre de situations ? Maintenant, il devait s'avoir qu'il avait peur. Mais après tout, il se calma un peu, se disant que s'il devait être torturé, autant être torturé dignement et ne pas pisser dans son pantalon. De toute manière, pour l'instant, il n'avait trouvé aucun moyen de fuir ou de se détacher.
Il ne savait pas quoi répondre, devait-il dire que oui, c'était un salopard ? Que, oui, il avait l'impression d'être à la place de Nicolas ? Que, oui, il s'en voulait d'avoir fait cela après mure réflexions ? Plutôt crever que de le dire. Pour les deux premières réponses, elles étaient vraies, mais la dernière aurait été du mensonge pour lui et le blond. Devait-il dire les deux réponses ? Hm… Il laissa un blanc pendant quelques minutes avant d'ouvrir la bouche en regardant le plafond.
-Oui, je suis un salopard. Mais tout le monde le sait, ce n'est pas nouveau. Du moins, avec certaines personnes. Il ne faut pas croire non plus, que je suis un salopard tout le temps, même si c'est ce côté qui ressort le plus. J'ai peut-être été un peu trop vache avec toi. Il tourna la tête pour regarder le blond avant de reprendre. Si l'envie de me torturer te prend, va si ! Je n'en ai strictement rien à foutre.
Après ses mots, il lui cracha au visage. Oui, il venait de signer son arrêt de mort numéro deux, mais tant pis. Il préférait mourir dignement que d'avouer ce qu'il pensait vraiment ou dire ce que voulait entendre Nicolas. Il n'avait plus peur maintenant, ce jour devait arriver et il était prêt.
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Sujet: Re: Cuir, Cuir, Cuir, Moustache [PV: Nicolas Dahila] Mar 22 Déc - 17:38
[;_; désolée du pavé, me suis laissée emporter...]
Il écoutait ce qu'il disait avec une attention toute particulière. Lui qui préférait regarder le plafond plutôt que d'affronter son visage, n'est-ce pas ? On a trop peur de voir la réalité en face. On fait du mal aux autres et quand on vous fait du mal, on accepte tout comme si tout cela était une évidence. Il lui cracha dessus, dans un dernier effort de mépris. Voilà, VOILA ! Nicolas, comprenait peu à peu les desseins que le monde s'apprêtait à lui offrir. Il regarda l'autre d'un œil presque sympathique. C'est bon. Il savait. Sonny est un petit être infâme et faible qui déverse autant de poison qu'il peut. Attaquer les autres avant qu'ils ne vous attaquent. Eh ? C'était aussi ce qu'il faisait, ça voulait dire... qu'il avait un gros point commun avec ce salop. Sauf que... que s'est-il passé lorsque l'adolescent dégénéré à voulu s'en prendre à plus fourbe que lui ? Oui, on est tous d'accord. C'est l'ordre naturel des choses, il allait, il devait, peut-être même que dieu lui ordonnait, déverser toute l'attention qu'il disposait sur lui, seulement lui. Ses yeux azures reprirent un éclat plus froid. Et c'est avec cette même frigidité qu'il s'adressa à lui et seulement lui : "-Oui, je sais, j'en prends conscience maintenant. Mais quand même. Tu devrais être content. Moi je te suis reconnaissant. J'ai pris conscience de l'inutilité que je suis. Personne n'aime les connards, moi, je vais juste te ramener à la réalité et t'en faire prendre conscience."
Il brandit son couteau avec force, comme si ce dernier allait directement venir se loger dans sa poitrine, contenant le précieux, précieux cœur, pompant chaque seconde un peu plus de sang. Mais non, haha, il n'est pas débile à ce point. S'il le tuait maintenant, à quoi ça servirait ? Quel réconfort auraient-ils tout les deux ? Le couteau ne fait que déchirer le T-shirt du connard. Sa peau est à nu, beige, ne comptant aucune plaie. Ah, mais oui, c'est vrai. Nicolas allait oublier mais... ils sont morts. Il peut, enfoncer autant de fois ce couteau dans un cœur, ça ne changera rien. DONC, il peut taillader cette poitrine autant de fois qu'il le faudra ! IL PEUT. Et.. il le fait. "-Parce que, tu vois, ici y'a personne. Juste toi et moi. J'essaye juste de te faire un peu, rien qu'un peu mal. Et que ça te fasse RÉELLEMENT souffrir. Et que pour une fois, dans ta putain de vie tu te rendes compte que quand les gens comme toi ont de la douleur... pouf Tout le monde s'en branle."
Sa voix devenait plus déterminée ou un peu plus rêveuse qui sait. Peut-être même qu'il ne s'adressait même plus à lui et se réconfortait lui même. Il était gentil, et avait besoin de tout cet amour qu'on ne lui avait jamais apporté. Il dessinait des rosasses sur ce torse qui, il n'y a pas si longtemps que cela, avait été collé contre le sien. De magnifiques dessins, Ohlala, si les autres Imagines voyaient cela ! Qu'est-ce qu'il dirait ? Ils ne leurs avaient jamais parlé à eux non plus, sauf, à une. Les autres, étaient des petits parasites qui lui voulait du mal. Il s'affairait toujours sur son buste, en se remémorant la manière dont Sonny l'avait collé, leur sueur se mélangeant, la peur de l'un qui faisait le bonheur de l'autres. Bref. Ca lui donnait une profonde envie de gerber.
Il contempla son oeuvre, insatisfait. Il, avait prévu de lui arracher la peau, de sorte que la scarification laisse sa peau à vif. C'était laid, vraiment. Pourquoi est-ce qu'il s'obligeait à faire ça ? Pourquoi est-ce qu'il se donnait la peine d'aider cet agneau là. Et pas un autre ? "-On s'accorde de l'attention mutuellement. On souffre mutuellement.commença-t-il d'une voix douce avant de reprendre plus énergiquement. Et tu sais, OUI TU SAIS. Non, non attends. Avant que je te dise, explique moi tu veux ? Pourquoi tu t'en fous ?"
Il saute et s'assoit sur le poitrail de cette nouvelle victime, de sorte à ce qu'elle ai du mal à respirer. Tu suffoques, hein, on te demande de parler, mais vas le faire, avec taaant de mal parce que le gentil, le très attentionné Nicolas est sur assis sur toi.. Il plante le couteau dans la main droite du prisonnier, et tourne un peu. Qu'est-ce qu'il est con Nicolas, beaucoup trop altruiste. Il perd son temps, alors qu'il pourrait encore... errer dans les sous terrains ? Oublier jusqu'à sa propre existence. Quelle ivresse c'était. Ah oui. Il soupire. "-Ton existence, t'importe peu au point que la douleur ne te fasse plus rien ? Ou, c'est ton orgueil qui dicte ta conduite ?"
"Pauvre." Il tourne encore un peu. "Petit." Encore. "Agneau." Il fait un tour complet.
"-Comme tu paniques quand on t'attaches parce que t'es privé de liberté. Mais mec, mec. Te torturer, est-ce que ça se résume à te faire mal physiquement ? NOOOON. Tu sais, que je pourrais TRES BIEN TE LAISSER POURRIR ICI. Tu comprends hm ? Sans aucune distraction. C'est à dire... pas de viole de pauvre petit gars qui passait par là." Non, non, non, fait-il avec ses doigts, avant de tourner la lame dans le sens inverse.
"-Donc, où je me trompe ?" Reprend-t-il serieusement
Sonny S. Jefferson Sunny Delight
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Sujet: Re: Cuir, Cuir, Cuir, Moustache [PV: Nicolas Dahila] Jeu 24 Déc - 3:56
[T'inquiète pas regarde mon pavé aussi 8D]
Il n'en avait plus rien à faire. Il était mort, oui, il allait souffrir et alors ? Quand il aura fini de jouer comme un débile, il le laissera tranquille et puis se sera fini. De toute manière, il n'était pas d'humeur à faire le difficile et il n'en avait pas les possibilités après tout… Il se mit à rire, mais à rire tellement fort quand il se mit à dire qu'il avait pris conscience de l'inutilité qu'il était. Vraiment ? Il était ravi de lui avoir permis cela ! Mais lui faire comprendre qu'il était inutile, lui ? Que personne ne l'aimait ? Mais bien sûr ! Nicolas cherchait juste à se venger et à faire souffrir le blond parce qu'il lui avait dit qu'il était nul.
Sa seule réponse fut son fou rire, même quand il le vit brandir le couteau comme s'il allait le planter n'importe où, il continuait de rire. Oui, il se foutait littéralement de sa gueule. Il sentit son T-shirt se déchirer, quel dommage ! Il était plutôt joli et propre… Bon, tant pis. Il n'avait aucun complexe à montrer son torse, après tout, le blondinet l'avait déjà vu. D'ailleurs, il n'avait pas compris pourquoi ce matin, il avait mis un T-shirt alors que d'habitude, il met simplement sa veste, laissant son torse et ses tatouages visiblent.
Il continuait de l'écouter, il avait arrêté de rire, mais gardait son sourire moqueur habituel, comme s'il n'était pas dans une position de faiblesse. Que les gens se foutaient de sa douleur, il souriait encore plus. Non, le monde ce fous de la douleur de tout le monde. Il l'avait vu quand il était encore en vie, de ses propres yeux ! Nicolas ne savait pas de quoi il parlait, ça le décevait.
-Sauf que tout le monde ce fou de la douleur des autres. Pas que les gens ‘'comme moi''. Sache que je suis unique aussi, hein. Tu ne trouveras pas pire que moi et oui, j'en suis fier.
Il refit son magnifique sourire. Halala, un peu de vantardise ne faisait pas de mal de temps en temps ainsi qu'un peu d'orgueil. Quand il sentit la lame du couteau entrer dans sa chair, il ne pue s’empêcher de se crisper de plus en plus, la douleur était présente, sentir que son sang coulait lentement des coupures qui lui faisaient. Malgré tout, il garda son sourire, il ne voulait pas lui donner le plaisir de le voir souffrir même si on voyait bien que son sourire était de travers, entre la moquerie et la douleur. Il se disait que c'était supportable… Oui, il n'avait pas à avoir mal, là, c'était supportable. Il ne savait pas vraiment ce qu'il dessinait sur son torse, mais cela avait l'air de lui plaire.
Quand il eut fini, il eut un soulagement en lui. C'était comme une petite délivrance. Il l'écoutait sans rien dire et quand il sauta pour s'asseoir sur son portrait, il eut le souffle coupé pendant quelques secondes avant de se calmer et de respirer un peu mieux. Nicolas était léger, il ne suffoquait pas trop, mais quand même un peu.
-En quoi ça te regarde ? Je n'ai pas envie de t'expliquer, alors tu vas faire un caca nerveux si je ne te le dis pas ? Eh bien fais-le. Parce qu'il sera impossible pour toi me faire ouvrir la bouche pour t'expliquer quoi que ce soit sur le pourquoi je m'en fous.
Il sentit le couteau rentrer dans sa main, il eut aucune réaction, comme si la douleur était inexistante alors quand vrai, il avait envie de hurler. Mais il ne pue se retenir de grimacer en sentant le couteau tourner dans sa peau. Il se retenait de faire un cri ou même un gémissement de douleur.
Il le vit soupirer, quoi ? Il n'était pas satisfait. Cool alors. C'était parfait. Il voulut lui répondre, mais le couteau tourna encore un peu, puis fit un tour complet. Il avait une mense grimasse et ne pue retenir un petit gémissement de douleur étouffé. Il aurait voulu retenir cette plainte, mais c'était beaucoup trop dur.
Il continuait de l'écouter sans dire un mot, sentant sa respiration rapide et son cœur qui battait comme un fou. Son sang coulait de toute part : son torse sous les dessins du blond et sa main avec le poignard encore dedans. Même s'il était mort, il était possible de mourir une nouvelle fois, il se rendormirait d'un coup et Nicolas devra attendre qu'il se réveille. Mais Sonny ne serait pas con, il ferait semblant de ne pas être réveillé. Comme ça, il finira par abandonner.
Il voulut lui répondre, mais il ne le pue. Il enchaînait les douleurs, les tortures sans même lui laisser le temps de répondre. Il grimaçait encore, bizarrement, dans l'autre sens, cela lui faisait moins mal. Peut-être parce qu'il l'avait déjà bien charcuté avant.
-Même si tu me laisses pourrir ici, tu seras bien surpris de me revoir apparaître dans ta vie un ou deux mois plus tard. Tu sais pourquoi ? Parce que tu crois que je suis seul. Parce que tu crois que je n'ai personne à part toi. Me torturer psychologiquement sera impossible pour toi. J'ai vécu trop de choses pour que cela marche. Tu n'as pas vécu à mon époque, tu ne peux pas comprendre. Il reprit un peu sa respiration, essayant de garder son sérieux, ne montrant aucune douleur dans sa voix. Tu crois que ma vie se résume au viole ? Surtout de petits gars ? Laisse-moi t'expliquer, tu es le seul mec que j'ai violé. Tu comprends ? Du coup, je me fous complètement de toi et des hommes en général. Mais franchement, dire que ma seule passion dans la vie est de violer des gens. Après tout, tu ne me connais pas assez pour savoir ce que je fais donc après tout, c'est un peu logique vue que je t'aie violé et que tu n'as eu que cette image de moi.
Il mit une pause, un petit temps pour mettre ses idées et ses paroles en place. Où il se trompait ? Partout. Tout ce qu'il pensait était faux. Peut-être que s'il ne c'était rien passé entre eux et que Nicolas l'avait connu comme ses amis le connaissaient, il aurait compris.
-Tu te trompes sur tout. Tu ne connais rien. Tu crois tout connaître de la douleur, de la souffrance. Mais tu ne connais rien. Voilà où tu te trompes.
Il ne souriait plus, son air sérieux au visage malgré la douleur. Le p'tit con… Il ne connaissait rien et il se permettait de dire tout ça. Comme s'il connaissait la vraie douleur, comme s'il connaissait la vraie souffrance. Peut-être que Sonny se trompait lui aussi, peut-être que Nicolas connaissait tout ça. Mais s'il pensait qu'il connaissait tout ça parce qu'il l'avait violé, alors ce n'était pas la pire des souffrances.
-Sache que, si je sors d'ici même si tu me laisses attacher et que tu ne me vois pas pendant des mois. Mais vraiment, sache que si je reste ici et que je finis par sortir d'une manière ou d'une autre, je te tuerais une seconde fois après t'avoir fait voir ce que c'est que la vraie souffrance.
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Sujet: Re: Cuir, Cuir, Cuir, Moustache [PV: Nicolas Dahila] Jeu 31 Déc - 14:40
Petite connard arrogant qui rigolait, petit connard arrogant avec ses airs de tyrans, petit connard arrogant qui, à chaque parole, renforçait un peu plus les croyances de Nicolas. Le pauvre adolescent qu'il était ne faisait que dire la vérité, mais lui débitait ses conneries en pensant que cela le déstabiliserait. Pff, l'ignorance n'est pas un tare, Sonny ne savait pas ce qu'il disait, mais Nicolas le pardonnait pour ça. Il se marrait, comme si les ressentis de l'autre n'était qu'une blague grotesque. Voilà ! Voilà pourquoi il détestait discuter. A chaque fois qu'il ouvrait la bouche, les gens n'avaient plus une once de respect ou d'intelligence. Ils niaient tout en bloc et balayaient ses paroles d'un éclat de rire. Ça avait le don de lui faire grincer les dents.
Sonny n'était pas un être unique, il y en avait des centaines, des millions comme lui ! Parce que les êtres humains sont fades et foncièrement identiques. Est-ce qu'il existait pire que lui ? Oui. Il y avait ces gens qui battaient, violaient, séquestraient, dénigraient des enfants, des vieux, des adultes. Et ces humains là, ayant pourtant subis tout le mal du monde, le font ressentir à d'autres, comme un cadeau d'héritage. Avec l'espoir de pouvoir partager un peu de leur douleur. Et tranquillement, le virus se répand. Personne ne peut y résister, même pas le jeune allemand.
Oh...ah... il n'avait pas envie de lui expliquer...? Cette dernière réponse attisa sa curiosité. "Qu'est-ce qu'il y avait de si difficile à avouer ? On viole des gens parce qu'on n'a aucun respect pour soi même ? Ou parce que par le passé, personne n'en a jamais eu pour toi ? J'en aurais le cœur net, tu le sais ça. Tu le sais que je vais chercher à savoir." Comment le ferait-il parler... est-ce qu'il devrait lui faire ouvrir de force sa putain de bouche ? Ou peut-être, que cet abruti allait descendre de ses grands chevaux et tout bien lui raconter docilement. Il retira le couteau, se demandant s'il devait tout de suite l'enfoncer dans son palais ou attendre qu'il ai finit de parler.
Les petits gémissements qu'il avait poussés pendant qu'il était occupé à enfoncer la lame dans sa chair tendre et rosée avait formé une mélodie dont il espérait se souvenir encore pendant bien longtemps. Le plus plaisant n'était bien sûr pas de taillader bêtement ce gros bout de viande, mais plutôt de le voir réagir ! Admirer sa conscience sombrer un peu plus à chaque coupure et son esprit réaliser qu'après tout, la douleur était le seule moyen de lui rappeler que tout ceci est bien réelle. Non, non ! Sonny ne savait pas encore comment faire ! Il n'avait pas encore appris à réfléchir comme ça ! Il devait lui montrer l'exemple ! C'est ça qu'il devait faire ? Hein ? Il approcha le couteau de sa propre langue et l'entailla. C'était bien vrai. Il était bien en train de transmettre tout son savoir sur la miséricorde. "-Même si tu me laisses pourrir ici, tu seras bien surpris de me revoir apparaître dans ta vie un ou deux mois plus tard. Tu sais pourquoi ?"
C'est faux évidement. Comment est-ce qu'il pourrait sortir d'un endroit si paumé ? Surtout qu'il n'avait aucune intention de le libérer de ses liens. A moins, que quelqu'un l'aide. Ce quelqu'un... s'il trouvait une seule preuve de l'existence d'un "quelqu'un" qui serait susceptible de vouloir lui prêter main forte il le massacrerait. Il n'y avait que lui pour l'aider; Il avait les pleins pouvoirs. Il ignorait la douleur, continuant se mutiler. "-Parce que tu crois que je suis seul. Parce que tu crois que je n'ai personne à part toi. Me torturer psychologiquement sera impossible pour toi. J'ai vécu trop de choses pour que cela marche. Tu n'as pas vécu à mon époque, tu ne peux pas comprendre."
Il s'interrompit. Quoi ? Non, non, non, non , non ,non. Il l'avait dit la dernière fois, il n'y a que lui pour s'occuper de Nicolas, et il n'y a que Nicolas pour s'occuper de Sonny ! Pourquoi ? Parce que c'était comme ça ! C'était impossible autrement. Il lui avait dit la dernière fois ! Il s'en souvenait ! Ça ne pouvait être un mensonge ! Tout ce qu'il lui avait dans les bains était vrai. Le fait que personne ne soit venu le sauver, que personne n'en aurait eu l'envie, qu'il n'y avait que lui pour s'en occuper. C'est ça...
Non ?
Il hurla de rire à cette dernière parole. Qu'est-ce qu'il se bidonnait ! AH POURQUOI IL LE FAISAIT DOUTER COMME CA ? Qu'est-ce qu'il cherchait à faire ?! C'était drôle ! Tellemeeeeeeeeent drôle ! A moins que ce ne fut un rire nerveux. Un rire en vérité remplit de craintes. Il se poilait tellement fort qu'il entendait à peine la fin de sa tirade. Le malheureux jeune homme se roulait sur cette ordure de violeur tant il s'esclaffait. "-MEC, MEC ! CA ! CE QUE TU DIS, C'EST DE LA MERDE. TU LE SAIS ?"
Il respira un grand coup, comme pour se calmer, mais ne parvint tout de même pas à réprimer quelques gloussements. "-Tu te trompes sur tout. Tu ne connais rien. Tu crois tout connaître de la douleur, de la souffrance. Mais tu ne connais rien. Voilà où tu te trompes. "-La ferme. "-Sache que, si je sors d'ici même si tu me laisses attacher et que tu ne me vois pas pendant des mois. Mais vraiment, sache que si je reste ici et que je finis par sortir d'une manière ou d'une autre, je te tuerais une seconde fois après t'avoir fait voir ce que c'est que la vraie souffrance. "-Ta. Gueule."
Sa voix avait emprunté un ton autoritaire que lui même ne connaissait pas. Il ne prit d'abord, pas la peine de répondre au blond, essayant de détacher le couteau de son manche. Ne regardant pas ce qu'il faisait, et continuant de pouffer bêtement, il se coupa et s'y reprit à plusieurs fois. Ça ne fonctionnait pas. Bah, tant pis. Il planta le couteau dans la jambe de son interlocuteur. Haha, il avait eu du mal à rentrer, peut-être avait-il toucher l'os ? Le gamin se leva pour simplement prendre une ribambelle d'aiguilles aux belles couleurs argentées et un écarteur avant de revenir se rasseoir sur son siège humain. Il s'approcha cette fois un peu plus du visage de Sonny, et pris appuie sur le cou de ce dernier.
"-Tu as des frères et sœurs ? Moi j'ai un frère. Je l'ai brûlé vif tu sais. Mais pas pour lui faire mal. Il s'approchait un peu plus de sa figure à fur et à mesure qu'il parlait.Pas pour lui faire mal. Parce que... toi qui connait si bien la souffrance, comme tu le dis, tu sais mieux que personne que vivre est épuisant.Il était maintenant si proche que leur fronts se touchaient.Si j'ai fait ça c'est parce qu'il est mieux mort que vivant. C'est ma manière à moi d'aider les gens."
Il se redressa brusquement et ne le laissa pas répondre, ouvrant sa bouche à deux mains et plaçant l'écarteur à l'intérieur de manière à la garder ouverte. Comme ça... ce salop ne pourrait pas le mordre.
"-Quand je t'entends parler, j'ai l'impression que tu penses que je fais ça par pure vengeance.Tu es looooin, très looooin de ce que j'ai en tête ! C'est de la gentillesse. Tu vois comme Nicolas est gentil. Il s'occupe de toi, comme toi tu t'es occupé de lui. Et si par MIRACLE, SI DIEU T'AIMES, tu arrives à t'enfuir, que tu mets tout en oeuvre pour me retrouver et m'apprendre la vrai souffrance, je serais flattée." dit-il d'un air de défit
C'était vrai. Jusque là, il ne s'inquiétait que pour des choses futiles. Il était angoissé, mais n'avait jamais connu la véritable peur. Celle qui vous ronge, qui fait cesser votre cœur de battre et vous glace jusqu'au fond de vos entrailles. Mais lui, il lui avait apprit. Il prit une aiguille et la cala entre son palais et sa langue. Il fit de même avec deux autres aiguilles avant de re-prendre appuie sur son cou.
"-Maintenant répond. Qu'est-ce que tu appelles, la "vrai souffrance" ? Tu dois bien connaître ça pour oser sous entendre que je suis un petit chouineur qui n'y connait rien. Explique tout à Nicolas, il est là pour ça après tout."
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Sujet: Re: Cuir, Cuir, Cuir, Moustache [PV: Nicolas Dahila]