''  Hahahahhaha ! Je n'aurais jamais cru faire une autobiographie ! Du moins de mon vivant... Au moment où j'écris ces lignes, je simplement assis sur une surface confortable alors que le soleil se lève sur l'horizon. Je me repasse encore mes dernières minutes de mon vivant ainsi que ma mort lente et douloureuse. Mais bon, assez parlé des choses banales comme la vie, la mort, et toutes ses conneries. Commençons simplement par le commencement.

Comme tout le monde, la première chose que j'ai faite, c'est sortir d'un utérus où j'avais été implanté presque qu'un mois auparavant. Je pense qu'il n'est pas nécessaire de vous rapporter les détails d'un accouchement mais, je trouve cela essentiel de commencer par le vrai commencement et ne pas vous racontez des conneries dès le début. Malgré tout, je ne saurais vous éclaircir sur cette parcelle de mon enfance qui m'est impossible de me rappeler. Les premières informations que je peux vous informer pour garder la confidentialité de ma famille est que mon père est un américain typique de l'époque moderne et que ma mère est une canadienne. Ainsi, je possédais de base, dans le monde vivant, la double citoyenneté qui me permettais de voyager à travers presque toute l'Amérique en bon citoyen. Mon adolescence ne fût guère comme celle des autres. L'argent était loin d'être une contrainte et les voyages successifs à travers l'Amérique m'ont ouvert les yeux de plusieurs façons. Je voyais le génie humain partout. Les créations de l'Homme gigantesques et merveilleuses bordant le ciel alors que d'autres ne pouvaient à peine se percevoir à l’œil nu en permettant de sauver des vies d'une maladie pouvant causer la perte de l'humanité. Je voyais aussi malgré toute la folie humaine. Celle-ci, était toujours dans l'ombre du génie en attendant patiemment son heure. La plupart de ses folies étaient parfois dans la vie de tous les jours mais, personne ne désirait vraiment crier scandale contre ses problèmes pouvant causés notre perte. Prenons simplement la surconsommation, le manque d'eau potable, le réchauffement climatique, la pollution causé par l'industrialisation, le trafic d'organe humain. Certes, toutes ces choses étaient négatives mais semblaient merveilleuses derrière les produits, l'argent, le rallongement de la vie, en bref tous les bienfaits, que ses gestes de folie nous offraient.

J'étais à la fois scandalisé de voir le monde dans lequel nous vivions s’entre tué. Entre temps, parmi tous mes voyages, j'avais eu la chance de fréquenter les meilleurs Université de Science et les meilleurs scientifiques de l'Amérique. Prenons simplement le professeur de science atomique du Boston collège avec qui je fessais un jogging tous les Mardi avant de faire quelques expériences illégales dans la soirée. Bref, pour vous la faire courte, j'étais devenu en quelque sorte un génie chimiste que peu de gens avaient eu la chance d'atteindre durant toute l'humanité. Le napalm, la dioxine ou même la Dichlorométhane était des substances que je fréquentais de plus en plus tous les jours.

Or, ses produits dans la vie humaine mènent souvent à la mort. Malgré la protection la plus avancé technologiquement, je savais que la mort me guettait et que je ne vivrais guère longtemps. Malgré tout, je savais que j'avais un grand potentiel et je ne désirais pas mourir sans laisser d'avancé scientifique derrière moi. L'idée de créer quelque chose que personne n'avait approché m'excitais au plus haut point. Peut-être même que la solution miracle pour me sauver la vie était possible à créer ?

-Même dans la mort, je trouverai un mélange capable de créer un surhumain pouvant défier la faucheuse...

(...)

C'est ici que je termine aujourd'hui. Ma mémoire me fait défaut et je ne désire pas noté des âneries dans mon carnet, ou mon autobiographie. Pour être honnête avec vous, lecteurs, je dois réfléchir encore un moment sur les dernières semaines de ma vie pour y mettre du clair et pour avancer dans mes projets. Or, malgré ce monde où les morts semblent se regroupés, j'ai tout le temps nécessaire pour accéder à mon but. Qui sais, peut-être qu'un jour je trouverai même la recette pour retourner à la vie... ''